De la puissance de la publication planifiée…

NewspaperC‘est bien connu, la plupart des blogs ne durent jamais sur la longueur. Quand on ouvre son blog, on est un peu tout fou, en extase et on a envie de poster un article par heure. C’est bien souvent ce qui se passe d’ailleurs, et c’est là l’erreur. Bien vite, la réalité nous rattrape et il devient compliqué d’écrire à un rythme régulier, ne serait-ce même qu’un article par semaine. Pour vous qui comme moi postez un peu sur tous les sujets, et qui, la plupart du temps, n’avez pas d’articles liés à l’actualité, mon conseil est le suivant : ne réfrénez pas votre écriture compulsive, préparez vos articles et, au lieu de les publier, planifiez-les !

Un article par semaine ? Facile !

Un article par semaine (hors sujet d’actualité) tout au long de l’année, c’est déjà bon un challenge pour démarrer. Après quelques semaines d’écritures, vous arriverez à avoir 5 ou 6 articles d’avance soit plus d’un mois de publication. Ça vous laissera le temps de prévoir pour vos vacances, vos déplacements, etc : vos articles seront publiés automatiquement aux dates et horaires que vous aurez choisis. Notez que la planification fonctionne avec le système d’abonnement : vos fidèles lecteurs recevront un e-mail dès que votre article passera de « planifié » à « publié ».

Comment faire ?

C’est très simple : dans l’encadré Publier à droite de votre article, modifiez la date de publication en la passant de « tout de suite » à la date voulue. Choisissez une heure si vous le souhaitez puis validez. Votre bouton Publier se transforme alors en Planifier. Dans la liste de tous vos articles du tableau de bord, ce post sera en première position. Et voilà : vous n’avez plus à vous préoccuper de ce qui sera publié en fin de semaine : finies les corrections hâtives de l’article pondu au dernier moment, finie la peur du vide pendant les vacances en 56k, finis surtout les posts de trois lignes pour prouver aux quelques lecteurs qu’il vous reste que vous êtes encore en vie ! Pas mal, non ?

Photographie par Ricky Romero (CC BY-NC)